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ne pas trop réfléchir

arrêtez les idées négatives

 

 

 

 

 

 

 

Au Mans, dans la Sarthe, Relâche’Mans, praticienne certifiée et agréée, vous reçoit pour des massages et des séances de réflexologie plantaire.

En ce moment, soit à cause du confinement ou de la peur de la maladie, des pensées négatives peuvent nous submerger, nous ne savons pas les arrêter.

Pourtant, des solutions existent,

 Comment arrêter ces pensées négatives ?

Vos pensées vous submergent ? Décidez de reprendre le dessus.

Imaginez votre discours intérieur comme s’il était gravé sur un disque et tournait en rond sur une platine.

Si vous écoutez bien, la ritournelle ne se compose que de quatre ou cinq phrases, répétées à l’infini : « J’aurais dû faire ci », « Il a encore fait ça »…

Jouez avec les touches. Avance rapide, amusez-vous du timbre accéléré.

Ralentissez le débit, la voix devient faussement menaçante.

Augmentez le volume jusqu’à l’agacement. Baissez-le peu à peu…

Et appuyez sur la touche stop.

Respirez…
« La respiration est un recours efficace pour nettoyer le cerveau de ses pensées parasites »,

elle permet de détourner l’esprit de son obsession et d’agir sur la crispation musculaire qui accompagne l’agitation de la pensée.

Pratiquez la cohérence cardiaque.

Ecrire pour arrêter les idées négatives

« Particulièrement indiquée en cas d’insomnie, l’écriture permet de sortir de soi les mots “en toupie” qui empêchent de s’endormir »,

Laissez sortir l’émotion. »

Remarquez comme votre écriture, d’abord désaccordée et saccadée, se calme à mesure que sortent les mots.

Vous pouvez ainsi tenir un journal que vous remplirez au saut du lit ou avant de vous coucher, pour vous dépolluer l’esprit.La consigne libératoire.

Ecrivez en commençant vos phrases successivement par « Si j’avais su… », « Je tiens à te dire… », « Quand tu es parti… », « Tu te souviens… », « J’aurais dû… ».

Choisissez une ou plusieurs de ces consignes et écrivez jusqu’à épuisement de votre inspiration, pour creuser dans l’épaisseur de vos revendications, de vos regrets, de votre honte…

Sur le long terme : prévenir les rechutes

Cultivez vos plaisirs

La tendance à la rumination est un indice de notre vulnérabilité au jugement d’autrui.

Nous nous laissons atteindre par une désapprobation plus supposée que réelle.

Et, de manière générale, nous faisons dépendre notre satisfaction du monde extérieur, en attendant souvent qu’il soit autrement qu’il n’est.

« Nous sommes en contact avec le soi, notre essence, notre “génie personnel”, lorsque nous nous sentons réellement vivants, complètement nous-mêmes.

Ce bien-être lié à notre unicité, nous pouvons le retrouver et l’alimenter en stimulant nos cinq sens »

Caresser le bois, écouter le vent, honorer ses papilles…

C’est en cultivant nos goûts particuliers que nous pouvons trouver une cohérence entre ce que nous sommes et le monde avec lequel nous devons composer.

Pratiquez une méthode de relaxation

« A condition de s’y adonner au moins quinze minutes par jour, la méditation apporte un véritable changement d’état d’esprit »,

Dans la posture de votre choix, portez votre attention sur l’expérience immédiate en accueillant ce qui se présente (pensées, émotions, sensations corporelles…), sans juger, sans tenter de classifier.

Chaque fois que votre attention est distraite, efforcez-vous de la ramener à l’instant présent et aux données sensorielles. L’exercice donne l’occasion de constater :
– un, notre propension au vagabondage – nous laissons nos pensées s’éloigner de ce que nous faisons
– deux, notre tendance à l’évaluation – nous sommes prompts à réduire la réalité à des valeurs antagonistes, bien ou mal, beau ou laid…
– trois, notre tentation de réagir aux stimuli – bouger, parler – sans délai.
« Plus nous méditons,  et plus nous apprenons à accepter nos émotions sans nous en protéger, à constater que nos pensées sont changeantes ainsi que leurs effets, qu’elles ne sont que des productions de notre esprit et non la réalité. » Autrement dit, nous échappons à l’emprise de l’affolement mental.

Source : De la dépression au goût du bonheur d’Hélène Roubeix (Eyrolles, 2005).
Source : Côté divan, côté fauteuil de Jean-Marie Jadin (Albin Michel, 2003)

A très vite pour vous offrir une pause massage au Mans !

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